Analyses du marché de l’art et plongées approfondies dans l’art contemporain africain
D’Art Basel à AKAA 2025, l’Afrique rayonne pendant les Art Weeks : Entre maturité et nouveaux enjeux
Entre Londres et Paris, la présence africaine s’est une nouvelle fois imposée durant les Art weeks de octobre 2025. Des allées de Frieze London et Art Basel Paris aux couloirs d’AKAA, en passant par Nigerian Modernism, l’exposition historique présentée à la Tate Modern. Artistes, curateurs et institutions témoignent d’une maturité nouvelle et d’une énergie de renouveau sur le marché. Retour et réflexions autour des évènements marquants.
Sitor Senghor : “Il faut que les gens achètent et reviennent” pour une AKAA plus ambitieuse et affirmée
Dans cet entretien exclusif, Sitor Senghor, directeur artistique d’AKAA, dévoile le nouveau chapitre de la foire à travers un discours lucide, ambitieux et sans détour. Incontournable de la semaine de l’art à Paris, AKAA se trouve aujourd’hui au cœur d’un tournant, entre désir de renouveau et volonté de consolidation commerciale.
À la découverte du marché de l’art à Nairobi : entretien avec Thaddeus Wamukoya (Thadde TEWA), fondateur de TewasArt & Patrons
Dans cet entretien, nous rencontrons Thaddeus Wamukoya (Tewa), fondateur de la galerie TewaArt & Patrons et de la plateforme en ligne TewasAfrica, pour évoquer l’état du marché de l’art à Nairobi alors qu’il prépare son prochain événement, une nouvelle rencontre dédiée à l’art contemporain. Ambassadeur engagé et pionnier, Tewa nous retrace son parcours de près d’une décennie au cœur du marché de l’art en Afrique de l’Est
Art et Foires : Entre coûts en hausses et visibilité, quel future pour les galleries ?
Au-delà du glamour de la visibilité internationale, les foires d'art deviennent une opération de plus en plus coûteuse, de nombreuses galeries rapportant une baisse de leurs marges bénéficiaires ces dernières années. En s’appuyant sur les données récentes du marché de l’art et les rapports économiques, nous explorons comment la hausse des coûts transforme les stratégies des galeries, en particulier pour les petites structures et les spécialistes de l’art contemporain africain, qui doivent désormais repenser leurs modèles pour protéger leurs artistes et assurer la pérennité de leurs activités.

